Les utilisateurs principalement impactés sont les aveugles et grands malvoyants, les déficients visuels, les handicapés moteurs et les handicapés mentaux ou cognitifs.
Dans cette section :
Les utilisateurs principalement impactés sont les aveugles et grands malvoyants, les déficients visuels, les handicapés moteurs et les handicapés mentaux ou cognitifs.
Dans cette section :
Aveugles, déficients visuels, handicapés moteurs, handicapés mentaux.
L’impact sur l’utilisateur est toujours très important et peut, selon les cas, relever de problèmes réels d’accès à l’information, ils devraient être traités sans délai.
Le recours à des technologies d’assistance (lecteurs d’écrans ou périphériques spécialisés) et les conséquences des déficiences subies par les utilisateurs impactent directement les performances dans l’exploration, la lecture et l’utilisation des contenus et fonctionnalités.
La modification des contenus à intervalles réguliers, l’absence de contrôle des processus de mise à jour ou les limites de temps fixées pour réaliser une tâche, ont toujours comme conséquence que ces utilisateurs puissent se retrouver dans l’impossibilité d’accomplir une tâche ou, simplement, de lire le contenu.
Aveugles, déficients visuels, handicapés moteurs, handicapés mentaux.
L’impact peut varier en fonction de la nature et du volume de fenêtres ouvertes, mais il représente toujours un problème important qu’il est nécessaire de traiter.
Les aveugles et grands malvoyants peuvent rencontrer des difficultés lorsque des liens ou des boutons ouvrent dans une nouvelle fenêtre en fonction du paramétrage de leur lecteur d’écran.
Dans une moindre mesure, les handicapés moteurs peuvent avoir des difficultés de circulation entre plusieurs fenêtres ouvertes.
Enfin les handicapés mentaux peuvent être déroutés par l’ouverture inattendue de nouvelles fenêtres.
Aveugles et grands malvoyants.
En dehors des cas de dérogation, l’absence d’accessibilité des fichiers en téléchargement est toujours un problème grave qui empêche l’accès à l’information. Les problèmes devraient être traités sans délai.
Les aveugles et grands malvoyants vont avoir de grandes difficultés si les documents en téléchargement ne sont pas traités pour l’accessibilité ou ne disposent pas d’alternative accessible.
Dans une moindre mesure certains handicapés moteurs peuvent rencontrer des difficultés pour passer facilement du navigateur au lecteur de fichier et inversement.
Aveugles, déficients visuels, handicapés mentaux.
Émoticônes, texte cryptique ou art ASCII ne représentent qu'une succession de caractères pour les aveugles et malvoyants. Ces derniers ne peuvent accéder à la représentation visuelle de ces successions de caractères.
Les éléments de jargon et expressions inhabituelles sont un réel frein la compréhension pour les utilisateurs handicaps mentaux s'ils ne sont pas définis ou accompagnés d'une alternative en langage courant.
Les handicapés mentaux (limités dans ccertains processus de lecture) et les utilisateurs de lecteurs d'écrans (qui se fient à la restitution vocale de la synthèse) peuvent être bloqués devant la compréhension d'une phrase si elle contient un mot qui ne peut compris sans en connaître la prononciation (« ;Les poules du convent couvent »).
Aveugles, déficients visuels, handicapés moteurs, handicapés mentaux.
Les changements brusques de luminosité peuvent provoquer des crises, par exemple d’épilepsie, chez certains internautes. De plus, pour certaines personnes malvoyantes, photosensibles, ces changements peuvent rendre la lecture de la page impossible. Il en est de même pour les effets de flash.
Le texte en mouvement ne pourra pas être lu par des personnes ayant des difficultés de lecture, s’il défile trop rapidement. Il peut distraire les personnes ayant un déficit de l’attention et les empêcher de lire le reste du texte de la page. Pour les personnes utilisant un lecteur d’écran, un texte en mouvement peut parfois empêcher le lecteur d’écran de restituer le contenu de la page.